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Le 7 novembre 2004, Saint Florent |
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L'Abomination |
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MOBILISATION GÉNÉRALE CONTRE UN PROJET DE LOI LIBERTICIDE Face aux pressions croissantes du lobby homosexuel, qui risquent d’aboutir prochainement en France à l’adoption d’une loi sur la prétendue «homophobie», divers milieux ont commencé à se mobiliser en créant le collectif «Oui à la Famille, non à l’homofolie», qui se définit lui-même comme étant le rassemblement français des associations opposées à l’inversion des normes . Il existe déjà en Belgique deux organismes militant dans le même sens : Ø le collectif «Papa, Maman et moi», qui se présente
comme le rassemblement belge des associations opposées à l’adoption d’enfants
par les homosexuels Ces trois associations ont décidé de joindre leurs efforts pour organiser un vaste colloque européen le 27 novembre 2004 près de Bruxelles, à la Ferme du Château de Corroy-le-Grand. Ce colloque aura pour thème «FACE AU LOBBY HOMOSEXUEL, DÉFENDONS LA FAMILLE DE TOUJOURS». Le projet de loi qu’il est prévu d’adopter en France est présenté par le lobby homosexuel comme un grand progrès social. Or, c’est là une contre-vérité flagrante : son entrée en vigueur équivaudrait en fait à un gigantesque recul de la liberté d’expression, car il rendrait illégale et passible de poursuites toute contestation –même timide– des revendications de plus en plus extravagantes de la «communauté gay et lesbienne». Qui aurait pu croire, il y a un an seulement, à la réalité d’un tel risque ? Lors de l’adoption du PACS, on nous avait juré que jamais celui-ci n’aboutirait au «mariage homosexuel». Et nous avons déjà eu la sinistre mascarade de Bègles, qui était un ballon d’essai. On nous avait juré que jamais l’«homoparentalité» ne serait à l’ordre du jour. Et il n’est plus question que de cela. C’est pourquoi le collectif «Oui à la Famille, non à l’homofolie» a estimé qu’il était grand temps de réagir en donnant un coup d’arrêt, en France notamment, à la dérive communautariste jusqu’ici sans limites du lobby «gay et lesbien ». À cette fin, il lance une vaste pétition nationale afin : Ø de dénoncer le caractère liberticide du projet de
loi sur la prétendue «homophobie»
Voici le texte du manifeste qu'il s'agit de signer : Manifeste pour une mobilisation nationale
Décidés à obtenir la reconnaissance juridique et sociale de la prétendue égalité des coupes gays et lesbiens avec les couples constitués naturellement d'un homme et d'une femme, mais inquiets de l'indignation que soulève cette insupportable exigence, des groupes de pression homosexuels ont tiré prétexte de quelques incidents, certes graves et répréhensibles mais tout de même isolés, pour contraindre le gouvernement à déposer un projet de loi dite contre l'homophobie. L'exposé des motifs de ce projet reconnaît que le dispositif pénal actuel est parfaitement apte à lutter contre "les actes discriminatoires et violents", ainsi que les menaces ayant pour cible les personnes homosexuelles et leurs biens, mais veut étendre ces mesures aux "propos ou messages de même nature qui... peuvent inciter à commettre de tels actes". En prévoyant de pénaliser les "propos ou messages provocateurs, diffamatoires ou injurieux" émis à l'encontre d'une personne ou d'un groupe de personnes "à raison de son orientation sexuelle", le projet de loi vise, en fait, à interdire tout débat public sur le mariage homosexuel et l'adoption d'enfants par des couples de gays et lesbiennes (l'opposition à cette adoption sera tenue pour discriminatoire et les raisons avancées pour la justifier comme diffamatoires, voire injurieuses) et à mettre la mouvance homosexuelle à l'abri de toute contestation. Pourra, notamment, être pénalisable en tant que diffamatoire ou injurieuse, toute protestation publique de parents et d'éducateurs contre la publicité homophile ciblant particulièrement la jeunesse, et l'expression de jugements négatifs sur la nature même de l'homosexualité, laquelle devra être obligatoirement définie, dans les jugements publics, comme un choix, tout autant naturel que l'hétéro sexualité et tout autant légitime. Au prétexte de ne tolérer aucune atteinte à la dignité humaine, le projet de loi gouvernemental se révèle : -- Au plan juridique
-- Au plan social, résolument contraire au bien commun : si la préférence homosexuelle relève du domaine de la liberté privée, il n'appartient pas à l'Etat de favoriser un choix qui s'inscrit contre la famille, lieu de perpétuation de la génération humaine et donc de la survie d'une nation, et qui s'inscrit aussi contre l'équilibre psychique et moral de la jeunesse ; -- Au plan moral, inadmissible : il est clair que le projet de loi veut empêcher les parents et les responsables spirituels de rappeler cette évidence aveuglante qu'il y a, dans l'ordre de la Création de l'espèce humaine, une distinction essentielle, vitale et immuable entre deux sexes, et donc que les actes d'union entre deux personnes du même sexe, et plus largement, la sodomie, sont contre-nature et constituent, par là même, une atteinte à la dignité humaine. Il importe donc de dénoncer avec la plus grande vigueur - c'est la mission première que s'est assignée le collectif Oui à la famille, non à l'homofolie - tout projet de légalisation d'un pseudo-mariage homosexuel et le projet d'adoption d'enfants par des couples de gays et lesbiennes. L'enfant est, depuis la nuit des temps, le fruit de l'union naturelle du couple homme et femme. Le priver d élibérément de son droit de vivre au sein de ce couple naturel, le réduire à l'état d'un produit de fabrication biotechnologique et d'un objet de consommation à la merci de tout acquéreur désireux de satisfaire l'égoïsme de ses propres envies désordonnées, c'est exercer à son endroit une violence lâche et criminelle. Nous ne voulons pas de ce crime. ____________________________________
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